La présence de Simon ici pour compter les bécasses est malheureusement l’une des désastreuses conséquences de l’appropriation et de la spoliation de la terre par l’Humain. Tout l’équilibre de notre écosystème est devenu si fragile que nous avons dû instaurer des protecteurs de la nature.

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Tantôt observateur, tantôt protecteur, tantôt régulateur, leurs tâches demandent du sang-froid, de l'analyse, de la sensibilité, de la persévérance et surtout beaucoup de patience.

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En service de jour comme de nuit, quelques que soit les conditions météorologiques, sur des territoires parfois difficilement, voir dangereusement accessibles, ils se dévouent corps et âme et trop souvent jusqu’à l’épuisement.

 

Les gardes-faune se démènent et luttent malgré leurs nombreuses tentatives d’alertes concernant leurs conditions de travail précaires. Les répercussions sont lourdes… colère, indignation, épuisement et burnout.

 

Ce métier indispensable à la survie de nos espaces, nos essences et nos espèces mérite considérablement une mise en lumière.

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